De la vigne au vin, notre credo tient en quelques principes simples : pratiquer un mode de culture raisonnée, attribuer un cépage à un terroir, à une parcelle adaptée, sélectionner le raisin à chaque vendange, vinifier avec minutie. Ce travail, engagé il y a 15 ans, porte aujourd’hui ses fruits : toutes nos gammes bénéficient du Label Terra Vitis, garant d’un respect de la plante, de la terre, de l’environnement et des hommes.

Dans notre cave de 1930, sans cesse modernisée depuis 2004, s’élaborent des vins exigeants et harmonieux à la fois, au plus près de la vérité des cépages et du terroir. Des cuves inox thermo-régulées se sont ajoutées aux cuves béton-époxy, dans lesquelles l’apport de froid reste effectué par thermoplongeurs.

L’élevage des rouges et d’une partie des blancs se fait en barriques ainsi que dans deux foudres.

Le résultat ? Plus d’un million de bouteilles à l’année, qu’on retrouve en distribution sous l’appellation Abbaye Saint Hilaire, mais surtout, pour nos gammes d’excellence, sous les dénomination Mas de la Marotte, Le Bois du Marquisat, Oppidum, Sagesse, Tentation et Saint Hilaire mousseux.

Les vins des Terres de Saint Hilaire sont élaborés dans une démarche de viticulture raisonnée, encadrée par le label Terra Vitis.
Cette démarche est bien sûr globale : elle s’applique du traitement de la vigne au travail dans le chai, en passant par la vinification. La rigueur de cette approche naturelle est totale, et validée tous les deux ans par un audit complet de nos méthodes, réalisé par les experts du label.
Afin d’élaborer des vins aussi respectueux que possible du terroir, nous allons d’ailleurs parfois au-delà des règles du label Terra Vitis :
– Nous n’utilisons pas d’engrais minéraux, mais exclusivement des engrais organiques et des composts, comme en viticulture bioloogique.
– Nous n’utilisons pas de pesticides de synthèse ; nous traitons une ou deux fois par an au cuivre – généralement en août, dernier traitement avant les vendanges.
– Nous avons mis en place une traçabilité totale : les apports que nous pouvons faire à la vigne pour traiter les maladies sont systématiquement consignées et doivent être justifiées.
– Nous nous appuyons sur un désherbage essentiellement animal : dès la fin des vendanges, des moutons pâturent dans les vignes afin de désherber naturellement. Nous avons fait le choix de laisser ensuite un enherbement partiel dans les rangs de vignes.
Le résultat est aujourd’hui un produit totalement pur de toute trace de produits phytosanitaires, mais aussi une terre qui respire et qui vit !